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Publié le 04 février 2020 à 11h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 00h32
Dur, dur d’être gros dans un monde qui ne jure que par la minceur, ce signe — illusoire ? — de maîtrise de soi, de volonté, d’exigence et de sens de l’effort. Que de préjugés autour d’une maigreur si vantée dans la publicité et les magazines féminins, et un peu dégoûtante quand tant de gens ont faim. Il fut un temps où les gros étaient prisés, et leur taille, marque de richesse, de pouvoir ou de sensualité. De Rabelais à Rubens. Mais les modes passent, si la souffrance demeure de n’être pas comme l’exige la norme des puissants. Nous avons mené notre enquête sur celles et ceux qui résistent avec courage et orgueil à la grossophobie ambiante. Tyrannie du regard
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