Que sait-on de la vague d’agressions à la piqûre ?

Cette vague d'agressions "à la seringue" fait craindre aux victimes une infection par un virus tel que l'hépatite C ou le VIH. ©Getty - Yana Iskayeva
Cette vague d'agressions "à la seringue" fait craindre aux victimes une infection par un virus tel que l'hépatite C ou le VIH. ©Getty - Yana Iskayeva
Cette vague d'agressions "à la seringue" fait craindre aux victimes une infection par un virus tel que l'hépatite C ou le VIH. ©Getty - Yana Iskayeva
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Le Figaro révélait la semaine dernière un document interne de la police qui fait mention de plus de mille victimes de piqûres sauvages.

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Depuis quelques mois dans les boîtes de nuit, mais aussi dans des bars ou lors de concerts, des victimes se plaignent d’avoir été piquées. Parfois sans autre effet qu’un bleu, parfois avant d’entrer dans un état second, de ressentir un malaise ou dans le pire des cas, de faire un black out.

Un phénomène d’autant plus intrigant qu’aucune trace de substance nocive n’a pour l’instant été détectée chez les victimes. Difficile d’imaginer que les agresseurs soient toujours les mêmes vu la multiplication des cas et du nombre de villes touchées. Entre un potentiel effet d’imitation de ces agressions et le risque d’une contagion de la panique, que sait-on de cette vague d’agressions à la piqûre ? C’est la question du jour, avec Camille Chaize, porte-parole du ministère de l'Intérieur.

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