Du 4 au 11 mars 2019, c’est la Semaine européenne de prévention et d’information sur l’endométriose. Se manifestant par d’intenses douleurs abdominales, et souvent liée à la stérilité, cette maladie concerne aujourd’hui au moins une femme sur dix. Pourtant, malgré un nombre conséquent de cas, elle est encore mal diagnostiquée : il faut en moyenne sept ans d’attente avant que les patientes connaissent enfin l’origine de leurs symptômes.
Cette lenteur tient au fait que les douleurs sont souvent associées à celles des règles. Or, s’il est courant que les menstruations provoquent d’importants troubles abdominaux, ceux provoqués par l’endométriose sont particulièrement intenses et peuvent dégénérer en infections plus problématiques. Ils ne doivent pas être confondus et nécessitent un traitement spécifique. Explications en image.
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