Précarité menstruelle : en prison, des femmes fabriquent des cups avec des bouteilles en plastique
En théorie, l’administration pénitentiaire s’engage à ne laisser aucune femme dans la précarité menstruelle. En pratique, les serviettes de mauvaise qualité et les prix prohibitifs contraignent les femmes à faire preuve d’ingéniosité… parfois au péril de leur santé.
Abonné
Vous voulez participer au débat ?
S’abonner permet de commenter les articles. Et pas que : vous pouvez les consulter et les offrir à vos proches.
Vous avez envie d’offrir cet article ?
S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter.
Ce 28 mai, c’est la journée de l’hygiène menstruelle notamment pour « faire en sorte que chaque femme ait accès à des protections hygiéniques ».
Publicité
[De nos archives] Depuis 1985, lorsqu’une femme entre en prison, quelles que soient ses ressources financières, elle reçoit un « kit arrivante » contenant un nécessaire d’hygiène. Sa composition varie d’un établissement à l’autre.
Au centre pénitentiaire pour femmes de Rennes (Ille-et-Vilaine), la plus grande prison pour femmes en France, il comprend notamment une bross…
Vous cherchez des réponses à vos questions existentielles ?
S’abonner permet de consulter les articles du Nouvel Obs et de Rue89. Et pas que : vous pouvez les commenter et les offrir à vos proches.
Exclu :
3,49€/mois